134.
Ce renard m’avait sauvée quand j’étais en train de m’asphyxier dans mon sac-linceul, au cœur de la montagne des poupées. Pourquoi faut-il que ce soit toujours ceux qui m’aident qui soient punis ? Y a-t-il un moyen d’arrêter cette violence permanente qui a l’air de rassurer les crétins ?